Ce travail représente le mandala de Vajravarahi, une déesse souvent invoqué par les moines nouvellement initiés à la méditation tantrique pratiques.
Au centre du mandala est une figure de la danse Vajravarahi (Diamond-like Sow).
La déesse est associée à la victoire sur l'ignorance (symbolisé par la truie), et ce, son attribut caractéristique, apparaît juste au-dessus de son oreille droite. a quasi-nu, la figure donne un sentiment d'abandon sauvage: ses longs cheveux noirs cascades à son retour, sa tiare est fixé avec des crânes, et un collier de pendulous tête tombe sur ses épaules et sur ses cuisses.
Dans sa main droite, elle tient le hachoir
(kartrika), à sa gauche, le crâne de tasse
(kapala),niché dans le coude de son bras gauche est une cérémonie personnel
(khatvanga). Elle bafoue un corps inerte placé au sommet d'un lotus.
Early tibétain traductions de textes sanskrits, tels que le
Sadhanamala (Garland, des moyens pour [spirituel] Atteinte), le
Nishpannayogavali (Garland Yogas de Perfection), et le
Hevajra Tantra, décrire le mandala comme Vajravarahi déroule au cœur d'un praticien.
Ces textes décrivent certaines (mais pas tous) des divinités représentées ici dans son montage et de l'étoile à six dans lequel elle apparaît. Autres début tibétain tableaux dépeignent Vajravarahi; leur asse mblies diffèrent, ce qui suggère de nombreuses sources pour son iconographie en douzième et treizième siècle, le Tibet.
1 Le Sadhanamala décrit les six étoile comme l'union d'hommes (le triangle pointant vers le haut) et des femmes (le triangle pointant vers le bas) d'énergie. 2 Les quatre chiffres en bas de chaque côté du tableau des registres sont décrits dans la littérature comptes divinités de la
mahasu kha (Grande Bliss) royaume, qui contient Vajravarahi du mandala et serait situé à la périphérie de l'univers.
3Le schéma à la à gauche ci-dessous indique les noms de ces divinités et les directives de l'mandala au cours de laquelle chaque préside:
1. 1. Kakasya, à l'est (le bleu et le chef d'un corbeau)
8. 8. Ulukasya, au nord (en vert et à la tête d'un faucon)
6. 6. Svanasya, à l'ouest (rouge et tête de chien)
3. 3. Sukarasya, au sud (le jaune et le chef d'une truie)
Déités à l'intersection de tous les points cardinaux de posséder des têtes humaines et Bicolored:
2. 2. Yamadahi, sud-est (bleu et jaune)
4. 4. Yamadhuti, au sud-ouest (en jaune et rouge)
5. 5. Yamadamstri, au nord-ouest (en rouge et vert)
7. 7. Yamamathami, au nord (en vert et bleu)
La peinture de plusieurs inscriptions sont riches en informations et de faire la lumière sur son histoire ancienne. L'or inscription centré juste au-dessus du registre inférieur indique que la peinture est «le personnel méditationelles image
(voyous barrage) de Onpo Lama Rinpoché", qui a brièvement agi en tant que quatrième abbé du monastère Taklung entre 1272 et 1273.
4 La référence à ce tableau que Onpo suggère que la peinture utilisée dans les pratiques tantriques de visualisation, en particulier la première des trois étapes-méditationelles connu sous le nom de
kyerim (skyes jante), le développement ou la production, étape par laquelle l'apparition de la divinité et de son entourage est mémorisé jusqu'à ce qu'il puisse être reconstruite de façon frappante dans l'esprit du praticien.
Une inscription sur le dos de la toile a été composée par lui-même Onpo. Il se lit comme suit: "incomparable Saint Lama Prajnaguru [l'équivalent en sanskrit de
l'ouverture Onpo nom donné à l'enseignant, Sangyé Yarjon] et moi-Kirtishri Rashmibhadra [l'équivalent du sanskrit Onpo du nom de naissance, Drakpapel Oser San gpo] sont
indissociables pour atteindre l'enseignement oral, à purifier erreur de notre esprit, et de guider les êtres à [spirituel] de libération.
"5 Ces inscriptions étaient probablement
composé par Onpo quelque part entre 1264 (lorsque, à l'âge de treize ans, il a rencontré
son maître Sangyé Yarjon) et 1273, un an après la mort de Sangyé Yarjon, lorsque Onpo gauche Taklung pour l'est du Tibet.
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